Réponse à Tristana et Ségolène...
Sinon, on le rend privé ou on écrit ailleurs.
On écrit pour être lu et quand bien même, on aurait des adorateurs malsains, où se trouve le danger ? D’avoir des commentaires désagréables, que l’on peut de toute manière « éraser » à volonté, se recevoir des annonces à la c** que l’on peut encore scratcher sans soucis ?
J’avoue que moi aussi je regarde les stats de temps en temps mais juste pour avoir le nombre des visites. La provenance et le temps passé sur lui m’importent peu. Des fois je suis un peu amusée d’être lue à l’autre bout de la planète.
Et puis je jubile aussi quand ma belle doche et son truc de fiston (qui m’a servi de mari quelques 14 ans, paix à son âme quand il sera en enfer) viennent lire mes mots, persuadés qu’ils trouveront là toute justification à leur comportement exagéré, convaincus de leur toute-puissance de pouvoir un jour écraser ce que je suis et ce que j’ai osé faire : être libre (on ne divorce pas du roi, que diable !!!).
Par contre, je suis curieuse. J’aimerais vraiment avoir plus d’élément sur ce fameux « traqueur » et l’incidence que son pistage pourrait avoir.
D’où vient se sentiment d’être épié ?