24 avril 2005
Belles de nuit...
Elles
étaient là, toutes deux, à chuchoter à peine. Elles ne savaient pas que
je me tenais sur le perron de la maison, à regarder l'énorme Lune
grossir à l'horizon.
Au début, je n'ai pas prêté attention, leurs murmures se fondaient parfaitement avec l'obscurité, et l'air qui bruissait finement dans le début de soirée brouillait à merveilles leurs chuchotis.
Et puis, c'est le rire de l'une d'elle qui m'a surprise... Elle se moquait en fait du trop plein de maquillage de l'autre et la prévenait qu'elle risquait de déplaire à l'Hortensia nouveau qui venait d'arriver chez les voisins.
Elles ont continué un long moment ainsi, dans un babillage très féminin jusqu'au moment où elles ont aperçu mon ombre. Elles se sont alors redressées, faisant mine de rien et se sont laissées bercer par la brise nocturne parsemée de fines gouttes orageuses.
Au début, je n'ai pas prêté attention, leurs murmures se fondaient parfaitement avec l'obscurité, et l'air qui bruissait finement dans le début de soirée brouillait à merveilles leurs chuchotis.
Et puis, c'est le rire de l'une d'elle qui m'a surprise... Elle se moquait en fait du trop plein de maquillage de l'autre et la prévenait qu'elle risquait de déplaire à l'Hortensia nouveau qui venait d'arriver chez les voisins.
Elles ont continué un long moment ainsi, dans un babillage très féminin jusqu'au moment où elles ont aperçu mon ombre. Elles se sont alors redressées, faisant mine de rien et se sont laissées bercer par la brise nocturne parsemée de fines gouttes orageuses.
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