2 juin 2006
Ligne droite
Demain, j’irai au devant.
Je n’attendrai pas que l’on me contacte. Je ne revêtirai certainement pas l’air du désespoir, de la terreur ou de la révolte.
J’aviserai sur le champ.
Je ne m’autoriserai que le bien être de la réalité, la fin de l’attente, le temps qui continue et que j’apprends à travailler.
Ouahouuuuuu !!!!!! Jonathan Livingston l’avait pourtant bien dit : de l’autre côté d’un vol simple, on a plus besoin de manger pour se nourrir, on se nourrit de tout, même de l’air, surtout de l’air…
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